Dans notre métropole, cet été comme les précédents, les habitants ont suffoqué. Les effets de la canicule se font encore plus ressentir dans notre « cuvette grenobloise » du fait de sa configuration. Les solutions sont connues : favoriser les modes de déplacement décarbonnés, adapter et isoler les logements, redonner toute sa place à la nature dans nos villes et nos villages. Des solutions de bon sens, partagées par les élus de tous bords politiques, et pour lesquelles on attendrait une vraie dynamique de la part d’une majorité qui se pique d’écologie. Au contraire l’autoproclamé « laboratoire grenoblois » nous montre une gauche divisée, qui préfère s’écharper sur le nombre de vice-présidents pour tel ou tel groupe plutôt que de prendre les problèmes à bras le corps.