En 2022 une étude a révélé une pollution de la nappe phréatique (hors eau potable) rendant celle-ci impropre à la consommation et aux activités humaines. La métropole a proposé une évolution des statuts pour mieux la surveiller. Cela aurait dû se limiter à un débat technique. Mais à Grenoble chaque question fait l’objet d’une guerre de tranchée entre les écologistes et le reste de la majorité.
« Je demande à la Présidence d’apporter des informations précises, justes et claires » tonne la vice-présidente (UMA) qui ne peut plus « accepter les agissements de la Présidence ».
« L’ensemble des élus a été condamné à être jugé comme des enfants se disputant dans un bac à sable » répond C Ferrari lui demandant « de l’informer du renouvellement ou non de son engagement en tant que vice-présidente dans le dialogue et la confiance qu’exige une telle fonction ».
La guerre des gauches ne connaît pas de trêve !